Airbus et bombardier russe: Moscou dément tout risque de collision

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La Russie a formellement démenti mardi les rumeurs selon lesquelles un avion de ligne Airbus A319 d'Air France KLM et un bombardier russe Tu-95 auraient évité de peu une collision le 14 mars dernier.

La Russie a formellement démenti mardi les rumeurs selon lesquelles un avion de ligne Airbus A319 d'Air France KLM et un bombardier russe Tu-95 auraient évité de peu une collision le 14 mars dernier.

"Le Groupe public russe pour l'organisation de la navigation aérienne déclare formellement qu'il n'y avait aucun risque de collision entre les deux avions. Toutes les informations affirmant le contraire sont fausses", a indiqué le groupe dans un communiqué.

Des médias ont annoncé la semaine dernière, se référant à des sources anonymes, qu'une collision entre un avion de ligne d'Air France KLM, assurant la liaison Moscou-Paris (vol AF-1645), et un bombardier russe tu-95 a été évitée de peu le 14 mars dans le ciel de Moscou.

Selon le groupe, le bombardier russe Tupolev Tu-95 est passé à environ 300 mètres de l'avion de ligne français. Les aiguilleurs du ciel n'ont enregistré aucune violation des normes de navigation et il n'y avait pas de risque de collision. 

L'Armée de l'air russe n'a pas commenté l'incident du 14 mars.

Le Groupe pour l'organisation de la navigation aérienne a dénoncé la diffusion d'informations fausses et non vérifiées sur les prétendus incidents qui se seraient produits dans les zones stratégiques du système russe de la navigation aérienne.

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