Le départ d'Assad n'est pas un préalable à Genève-2 (Londres)

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Le départ du président Bachar el-Assad n'est pas une condition sine qua non afin de réunir la deuxième conférence internationale Genève-2 sur la Syrie, a annoncé lors d'une conférence de presse le chef de la diplomatie britannique William Hague.

Le départ du président Bachar el-Assad n'est pas une condition sine qua non afin de réunir la deuxième conférence internationale Genève-2 sur la Syrie, a annoncé lors d'une conférence de presse le chef de la diplomatie britannique William Hague.

"Quand j'ai déclaré qu'Assad ne pouvait jouer aucun rôle dans la vie d'une Syrie paisible et démocratique, je ne voulais pas dire que ce soit un préalable à la tenue de la conférence Genève-2. Nous n'avons pas de conditions inaliénables et nécessaires", a indiqué le chef du Foreign Office à l'issue d'une rencontre du "groupe des amis de la Syrie".

Cette rencontre a réuni à Londres les ministres des Affaires étrangères de 11 pays membres de ce groupe.

Selon le chef de la diplomatie britannique, le but de Genève-2 est de "trouver une solution pacifique" à la crise syrienne.

M. Hague a en outre fait savoir que les "amis de la Syrie" étaient prêts à négocier avec la Russie et la Chine dans le cadre des préparatifs de la conférence.

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