Lavrov en Egypte et aux USA pour évoquer les problèmes du PO

© RIA Novosti . Grigori Sysoïev / Accéder à la base multimédiaLe ministre russe des Affaires étrangères Sergueï Lavrov
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Le ministre russe des Affaires étrangères Sergueï Lavrov se rendra du 9 au 13 mars en Egypte et aux Etats-Unis pour prendre part aux discussions sur la situation en Syrie, qui auront lieu dans le cadre de la Ligue arabe et du Conseil de sécurité de l'Onu.

Le ministre russe des Affaires étrangères Sergueï Lavrov se rendra du 9 au 13 mars en Egypte et aux Etats-Unis pour prendre part aux discussions sur la situation en Syrie, qui auront lieu dans le cadre de la Ligue arabe et du Conseil de sécurité de l'Onu.

Lors de sa visite au Caire, les 9 et 10 mars, M. Lavrov rencontrera ses homologues arabes. Selon le chef de la diplomatie russe, la discussion portera non seulement sur la crise syrienne, mais aussi sur le conflit arabo-israélien qui continue de déstabiliser le Proche-Orient.

"Nous partons du fait que les processus sociaux et politiques qui se déroulent au Proche-Orient ne doivent pas reléguer au second plan la nécessité d'apporter des solutions aux autres problèmes de la région", lit-on dans un communiqué du ministère russe des Affaires étrangères. Le document souligne l'importance de promouvoir "un règlement équitable et universel du conflit arabo-israélien conformément aux normes du droit international". 

M. Lavrov se rendra du Caire à New York où il participera le 12 mars à une rencontre du Quartette de médiateurs internationaux sur le Proche-Orient (Russie, Etats-Unis, EU et Onu) qui aura lieu en marge d'une réunion du Conseil de sécurité des Nations unies.

"Il importe que les membres du Quartette définissent des démarches concrètes en vue de sortir le règlement palestino-israélien de l'impasse", indique le communiqué.

Le chef de la diplomatie russe participera également à la réunion du Conseil de sécurité de l'Onu consacrée à la crise syrienne. Il doit en outre rencontrer la secrétaire d'Etat américaine Hillary Clinton.

Cette dernière invite la Russie à "se joindre à la communauté internationale" pour l'aider "à mettre un terme à l'effusion du sang et à réunir des conditions permettant un transfert paisible et démocratique du pouvoir [du président Assad à l'opposition, ndlr]".

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