La Crimée est une destination incontournable de l'écotourisme

© RIA Novosti . Vitaly Karpov / Accéder à la base multimédiaLa réserve naturelle de Kara Dag
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On peut parler à l’infini de la richesse de la nature de la Crimée et des paysages à couper le souffle. La Crimée, c’est le climat unique, les montagnes, la mer et l’air qui guérit. C’est pour cette raison qu’on y voir une expansion du tourisme vert qui est une interaction, on peut dire une communication, entre l’homme et la nature sans nuire à cette dernière.

On peut parler à l’infini de la richesse de la nature de la Crimée et des paysages à couper le souffle. La Crimée, c’est le climat unique, les montagnes, la mer et l’air qui guérit. C’est pour cette raison qu’on y voir une expansion du tourisme vert qui est une interaction, on peut dire une communication, entre l’homme et la nature sans nuire à cette dernière.

La superficie des parcs naturels de la Crimée est de 220 mille hectares soit presque la superficie du Luxembourg. La réserve naturelle de Kara Dag située autour d’un volcan éteint est la plus grande de toutes. Elle est connue pour ses paysages mais aussi pour son delphinarium où l’on peut suivre une delphinothérapie, c’est-à-dire nager avec les dauphins ce qui a des effets positifs sur l’organisme en éliminant même un stress le plus important grâce aux ultrasons émis par ces animaux. Quant aux passionnés des airs, ils auront le plaisir d’admirer les paysages depuis les cieux en survolant la réserve en paraplane.

© Victor KorniyenkoLa réserve naturelle de Kara Dag
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La réserve naturelle de Kara Dag

Le parc de Kertch propose de faire connaissance avec le monde sous-marin, explique Natalia Cheremetieva à la tête de la direction des ressources de recréation du ministère des Stations de cure et du Tourisme de la Crimée.

« Non loin de Kertch il y a une ville antique d’Akra. On va y créer entre autres des sites destinés à des recherches sous-marines. Ils auront un caractère touristique et seront dédiés non pas à la recherche scientifique mais à la procuration des émotions positives aux visiteurs. »

L’eau la plus propre, on la trouve dans la réserve de Kara Dag et dans la baie de Laspi, dit Ivan Kovalenko, président de l’association « Actif touristique de la Crimée ».

© Flickr / Edward GudkovLa baie de Laspi
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© RIA Novosti . D. Chernov / Accéder à la base multimédiaMangoup Kale
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Mangoup Kale

« La baie convient à merveille à la pratique du tourisme vert. La côte est constituée des rochers et des récifs. Les gens peuvent venir, descendre les sentiers qui mènent à la mer, installer leurs tentes, aménager un emplacement pour le feu, il y a également des sources d’eau. »

Kara Dag, Kertch, Laspi: ce n’est que le début de l’itinéraire vert en Crimée. Si vous aimez les randonnées en montagne et les ruines anciennes, vous devez monter sur le plateau de Mangoup Kale situé à proximité de Bakhtchyssaraï. Sur le plateau, au sommet de la « forteresse de Mangoup » – c’est ainsi qu’on traduit de la langue turque le nom de ce plateau – vous trouverez une ville dans les rochers créée aux premiers siècles de notre ère. Quant au Temple du Soleil situé dans la vallée de Baydar, c’est le Stonehenge de Crimée où vous pouvez reprendre de nouvelles forces avant de se lancer à la découverte des autres sites remarquables de la péninsule.

La Voix de la Russie

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