Le Ballet de Hambourg, dirigé par John Neumeier, se produit actuellement à Moscou, sur la scène du Théâtre lyrique Stanislavski et Nemirovitch-Dantchenko. La tournée a débuté avec la Troisième symphonie de Gustav Mahler, un des plus grands succès du chorégraphe américain. Le photographe de RIA Novosti Vladimir Viatkine a capté les moments forts de ce célèbre ballet.
Le Ballet de Hambourg, dirigé par John Neumeier, se produit actuellement à Moscou, sur la scène du Théâtre lyrique Stanislavski et Nemirovitch-Dantchenko. La tournée a débuté avec la Troisième symphonie de Gustav Mahler, un des plus grands succès du chorégraphe américain. Le photographe de RIA Novosti Vladimir Viatkine a capté les moments forts de ce célèbre ballet.
Monté par John Neumeier en 1975, la Troisième symphonie de Gustav Mahler tente d'exprimer la musique à travers la danse.
Cette œuvre de Mahler constitue un véritable défi pour les danseurs et le chorégraphe. Sur la photo: Alexandre Riabko, Hélène Bouchet et Otto Bubenicek dans la Troisième symphonie de Gustav Mahler (Ballet de Hambourg).
La Troisième symphonie se distingue par un changement progressif de rythme et d'atmosphère. Sa dramaturgie musicale évolue, selon le compositeur, de l'amour de la nature vers l'amour de Dieu, offrant au chorégraphe une possibilité illimitée de concevoir des pas et des mises en scène.
Silvia Azzoni et Alexandre Riabko dans la Troisième symphonie de Gustav Mahler par le Ballet de Hambourg.
Edvin Revazov dans la Troisième symphonie de Gustav Mahler (Ballet de Hambourg).
Hélène Bouchet dans la Troisième symphonie de Mahler (Ballet de Hambourg).
Scène de la Troisième symphonie de Mahler par le Ballet de Hambourg.
La Troisième symphonie de Gustav Mahler au Théâtre lyrique Stanislavski et Nemirovitch-Dantchenko à Moscou.
Alexandre Riabko, Hélène Bouchet et Otto Bubenicek dans la Troisième symphonie de Gustav Mahler.
"Ce ballet marque ma première tentative d'adopter une approche systémique de la symphonie, une tentative de traduire cette dernière dans la danse. Je n'invente pas un sujet inspiré par la vie quotidienne, je ne cherche pas non plus à faire visualiser la partition musicale. Ce serait trop banal, surtout dans le cas de Mahler. Et pourtant, mon ballet n'est pas une pure abstraction: je me sers de cette musique pour raconter une histoire de relations humaines", affirme John Neumeier (sur la photo).
