Courrier des lecteurs JRM, 2014-04-15 13:43

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Les "dirigeants ukrainiens" actuels doivent savoir qu'au moment où l'occident n'aura plus besoin d'eux, ils seront accusés par leurs futurs ex-alliés de crimes de guerre. Ils ne pourront se réfugier ni à l'est, ni à l'ouest. Leurs positions extrémistes et leurs slogans néo-nazis serviront finalement de prétexte idéal aux forces occidentales non seulement pour les accuser, mais aussi pour intervenir militairement en Ukraine, comme elles l'ont fait avec le bombardement de Belgrade, pour mettre définitivement l'Ukraine sous leur domination des banquiers occidentaux.

Les "dirigeants ukrainiens" actuels doivent savoir qu'au moment où l'occident n'aura plus besoin d'eux, ils seront accusés par leurs futurs ex-alliés de crimes de guerre. Ils ne pourront se réfugier ni à l'est, ni à l'ouest. Leurs positions extrémistes et leurs slogans néo-nazis serviront finalement de prétexte idéal aux forces occidentales non seulement pour les accuser, mais aussi pour intervenir militairement en Ukraine, comme elles l'ont fait avec le bombardement de Belgrade, pour mettre définitivement l'Ukraine sous leur domination des banquiers occidentaux. L'enjeu est le pillage des richesses économiques de l'Ukraine, le resserrement de l'encerclement de la Russie et la diaspora de la jeunesse ukrainienne vers l'occident, comme cela s'est déjà passé en Hongrie, diaspora qui mettra durablement l'ensemble de l'économie du pays à néant. L'Ukraine pourrait ainsi devenir l'équivalent d'un protectorat africain avec une élite composée de collaborateurs de l'occident et une population laissée pour compte.

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