Il s'agit notamment de savoir s'il est réellement possible de parler d'un "marché européen unique" lorsqu'un même appareil photo numérique coûte 400 euros en Belgique et 300 euros en France, a déclaré aux journalistes la commissaire européenne chargée de la protection des consommateurs Meglena Kouneva.
L'exécutif communautaire envisage de recueillir des informations sur les prix dans vingt secteurs du marché de la consommation, dont le commerce de voitures et la prestation de services bancaires.
Selon Mme Kouneva, s'il l'on découvre des facteurs entravant la libre concurrence, le marché fera l'objet d'une étude approfondie qui pourrait être suivie de "mesures de correction possibles".
La nouvelle initiative de la Commission européenne a recueilli l'approbation du Bureau européen des unions de consommateurs (BEUC).